Auto-édition de votre manuscrit pour le vocabulaire

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Vue d’ensemble: Le vocabulaire joue un rôle crucial dans la manière dont les jeunes lecteurs s’intéressent à une histoire. Les mots justes peuvent rendre votre manuscrit vivant et attrayant, tandis que les mots trop difficiles peuvent troubler et frustrer vos lecteurs. Lors de l’autorévision de votre manuscrit, il est important de veiller à ce que le vocabulaire que vous utilisez soit adapté à votre groupe d’âge cible. Vos choix de mots doivent être suffisamment simples pour être compris, mais aussi suffisamment riches et descriptifs pour capter l’attention.


Pourquoi le vocabulaire est-il important ?

Le vocabulaire d’un livre d’images doit être soigneusement choisi en fonction du niveau de lecture et du stade de développement de votre public. L’utilisation excessive de mots difficiles peut rendre l’histoire plus difficile à suivre, tandis qu’un vocabulaire trop simple peut la rendre ennuyeuse. Trouver un équilibre entre des mots faciles à comprendre et un langage vivant et attrayant permet de créer une histoire à la fois accessible et captivante.


Points clés à prendre en compte lors de l’auto-évaluation du vocabulaire

1. Le vocabulaire est-il adapté à la tranche d’âge visée ?

Chaque groupe d’âge a un niveau de compréhension linguistique différent. Veillez à ce que votre vocabulaire soit adapté à votre public spécifique. Pour les plus jeunes, concentrez-vous sur des mots simples et familiers, tout en introduisant un ou deux nouveaux mots qui enrichissent leur vocabulaire.

  • Utilisez des mots adaptés à l’âge et au niveau de lecture de votre public.
  • Introduisez le nouveau vocabulaire avec parcimonie, en vous assurant qu’il est clair dans le contexte ou dans les illustrations.

Questions à poser :

  • Les mots que j’utilise sont-ils adaptés au stade de développement de mes lecteurs ?
  • Les jeunes lecteurs comprendront-ils les mots sans se tromper ?

2. Évitez d’utiliser à l’excès des mots difficiles ou complexes

Les mots complexes ou inconnus peuvent rendre votre récit difficile à comprendre et en perturber le déroulement. S’il est normal d’introduire quelques mots nouveaux pour enrichir le vocabulaire de vos lecteurs, évitez de surcharger le manuscrit avec un trop grand nombre de termes difficiles à comprendre.

  • Remplacez les mots trop difficiles par des mots plus simples, à moins qu’ils ne soient essentiels à l’histoire.
  • Utilisez des illustrations ou le contexte pour étayer tout vocabulaire difficile, afin d’aider les lecteurs à saisir les nouveaux mots sans confusion.

Questions à poser :

  • Y a-t-il des mots qui semblent trop difficiles pour le public ?
  • Des mots plus simples et plus familiers pourraient-ils être utilisés à leur place ?

3. Utilisez des mots dynamiques, engageants et descriptifs

Si la simplicité est importante, votre vocabulaire doit également être riche et attrayant. Le langage descriptif donne vie à votre histoire et maintient l’intérêt des lecteurs. Cherchez à remplacer les mots fades ou vagues par des mots plus colorés et plus passionnants qui améliorent l’expérience de la lecture.

  • Choisissez des mots qui sont à la fois simples et descriptifs, afin de brosser un tableau vivant pour le lecteur.
  • Faites participer vos lecteurs à l’aide d’un vocabulaire vibrant qui rend l’histoire dynamique et vivante.

Questions à poser :

  • Mon choix de mots contribue-t-il à peindre une image claire et nette pour le lecteur ?
  • Y a-t-il des endroits où le vocabulaire pourrait être plus engageant ou plus descriptif ?

Comment s’auto-éditer pour le vocabulaire

Étape 1 : Vérifier que le vocabulaire est adapté à l’âge des participants

Parcourez votre manuscrit et évaluez le vocabulaire en gardant à l’esprit votre public cible. Mettez en évidence les mots qui pourraient être trop complexes pour vos lecteurs et envisagez de les remplacer par des termes plus simples.

Étape 2 : Simplifier ou clarifier les mots difficiles

Pour les mots complexes que vous avez choisi de conserver, assurez-vous qu’ils sont étayés par un contexte ou des illustrations. Si le sens du mot n’est pas clair dans l’histoire, envisagez de le simplifier ou de l’expliquer naturellement dans le récit.

Étape 3 : Remplacer les mots fades par un langage vivant et descriptif

Recherchez dans votre manuscrit les endroits où la langue semble terne ou peu inspirée. Remplacez les mots fades par d’autres plus attrayants et plus descriptifs qui contribuent à donner vie à l’histoire. Concentrez-vous sur la création d’images vivantes par le choix des mots.

Étape 4 : Lisez à haute voix pour vous familiariser avec le flux d’informations

Lorsque vous lisez votre manuscrit à haute voix, prêtez attention au vocabulaire. Est-il naturel et adapté à votre public cible ? Veillez à ce que les mots soient fluides et à ce que rien ne soit trop difficile ou gênant.


L’autorévision du vocabulaire garantit que votre manuscrit est à la fois accessible et attrayant pour votre public cible. En utilisant des mots adaptés à l’âge, en évitant un langage trop complexe et en choisissant un vocabulaire vivant et descriptif, vous créerez une histoire qui captivera les jeunes lecteurs tout en les aidant à développer leurs compétences linguistiques.

mars 14, 2025